Quand nous avons une émotion, brève ou prolongée et obsédante, il apparaît dans le cerveau un phénomène de
surtension électrique généralisée ou localisée. Cette surtension va générer une mémoire cellulaire qui
pourra se ré-exprimer dans le corps après plusieurs mois ou plusieurs années.
Une émotion intense peut provoquer en nous un sursaut, c'est-à-dire une contraction musculaire brève correspondant au délestage du surplus d'électricité créé dans le cerveau. Cette contraction
musculaire est aussi une contraction de préparation à la défense ou au combat.
Lors d'une contrariété prolongée, dont l'intensité dépasse un certain seuil, il y a délestage de l'excès d'énergie dans une région précise de
l'organisme, provoquant une perturbation des fonctions cellulaires nutritionnelles des tissus correspondants et la création de mémoires cellulaires.
La ligne de base matérialisant un niveau de charge électromagnétique d'un organisme au calme émotionnel.
Un peu plus haut un seuil de délestage dans le corps. Il matérialise un niveau de charges électromagnétiques, de charge émotionnelle, plus important est suffisant pour engrammer dans notre corps
des mémoires pouvant avoir une répercussion dans un futur proche ou éloigné.
Toute contrariété de teinte affective identique aura toujours la même localisation cérébrale et sera caractérisée par un foyer de densification visible au scanner (Foyer décrit par Hamer que l'on
pourra comparer au noyau pathogène décrit par Freud).
L'ensemble des nerfs relie chaque localisation de notre cerveau à l'ensemble de l'organisme de façon identique pour chaque individu.
Une même teinte affective se projettera toujours dans le même
tissu, à la même localisation et avec le même dysfonctionnement cellulaire. Au cours
de la phase conflictuelle, l'organisme se transforme, se modifie ou se détériore. Il peut y avoir perte osseuse ou déminéralisation, érosion ou construction tissulaire et formation de cellules
anormales, cancéreuses ou non.
Cette phase conflictuelle est souvent asymptomatique durant la période de stress. Les modifications, les transformations, les détériorations entraînées par l'excès de charges électromagnétiques et les mémoires cellulaires qui en résultent sont des mécanismes de sauvegarde de l'organisme. Ce sont des soupapes de sécurité. Elles permettent de dériver et décharger l'excès d'énergie localisé dans notre cerveau vers un tissu, un organe cible. Cet excès d'énergie est impossible dans un processus normal de vie.
Durant cette période conflictuelle, l'organisme, sera particulièrement performant dans de nombreux domaines, peu sensible aux sensations douloureuses pour être capable de lutter, combattre, fuir
et se reproduire face à ce prédateur virtuel qu'est le stress.
Ce système tampon - ou mémoire cellulaire - évite notre mort immédiate. Ces phases d'accumulation de charges qui se mémorisent sont la rançon de notre
évolution et de la complexité de notre système de pensée. Elles constituent une des solutions utilisées par les êtres vivants pour prolonger la vie.
Ces phases évitent la détérioration irrémédiable de notre cerveau. Elles le libère des obnubilations conflictuelles. Cette dérivation des charges émotionnelles dans le corps, favorise les pensées
constructives. Celles-ci apportent une solution à la problématique, une évolution de conscience de l'individu avec surtout la transformation de cet évènement
douloureux en enseignement de vie et de guérison.
Les fonctions biologiques des êtres vivants sont dans tous les cas, des fonctions d'avenir.
Elles réparent sans cesse le passé personnel et généalogique, préparent sans cesse l'organisme pour l'avenir afin d'échapper ou combattre le "prédateur" et
valoriser les capacités pour pérenniser l'espèce.
La maladie résulte de la manifestation d'accumulation de ces mémoires émotionnelles non évacuées.
Ces mémoires se transforment, par un mécanisme non contrôlable, dans le biologique inconscient du monde cellulaire et participent à l'apparition à un moment précis dans la vie de l'individu à la
formation de cellules pathologiques.
L'apparition de la maladie, la formation de ces cellules considérées comme anormales sont pour l'organisme, les solutions au niveau cellulaire des différentes situations conflictuelles vécues par
l'individu, au cours de sa vie.
Cette solution apportée par nos cellules apparaît à retardement, le plus souvent en période de tranquillité, de sécurité, période où le stress, où le prédateur à disparu.
Pour la survie au sens animal, l'organisme manifestera certains signaux douleurs, inflammation invalidantes de certaines régions du corps, fatigue extrême que
dans une période de sécurité absolue. Ces phases sont à interpréter comme des tentatives de reconstitution de l'organisme nécessaire à sa restauration.
En effet, lors d'une phase inflammatoire, la douleur est un signal nous indiquant la nécessité d'immobiliser la région correspondante. La chaleur la rougeur, l'œdème
localisés sont des manifestations reflétant l'augmentation de la circulation sanguine locale dans le but d'évacuer les déchets, les cellules détériorées, et d'apporter des nutriments destinés à
la reconstruction des tissus.
La thérapeutique, la décharge des mémoires cellulaires est la deuxième chance de la nature pour la survie de l'individu.
La guérison n'appartient qu'au patient.
Elle est le résultat :
L'IMPORTANT N'EST PAS LE VÉCU MAIS LE RESSENTI ET LA SENSATION.
"Ce qui n'arrive pas à la conscience revient sous forme de destin." (JUNG)