"Un nouveau regard sur les maladies et les difficultés de fonctionnement des êtres vivants apporte un intérêt majeur et incontournable sur leur possible guérison."
"En ce début de XXIe siècle, nous sommes en pleine découverte de la compréhension scientifique des maladies physiques et/ou psychiques et du fonctionnement du cerveau dans ses structures, ses programmes et ses possibilités."
Considérées auparavant comme le résultat d'une malchance, d'une fatalité, de quelque chose qu'on "attrape" ou d'un détraquement interne, les maladies et les difficultés de fonctionnement sont aujourd'hui mieux comprises par de nombreux auteurs scientifiques de tout premier plan.
En effet, à partir de nombreuses et très complètes recherches, les maladies apparaissent dans leur grande majorité comme le résultat de programmes biologiques précis.
Sur base de ces nouvelles connaissances, les maladies et les difficultés de fonctionnement s'avèrent être, le plus souvent, un transposé au niveau du corps et/ou du psychisme d'un stress (d'origine individuelle, familiale ou ancestrale) qui a dépassé la capacité maximale de gestion personnelle, en particulier dans sa composante émotionnelle.
La "Biologie Totale des Êtres Vivants", décrite sous forme d'histoires naturelles comparant les trois règnes : Végétal, Animal et Humain (BTEV), s'appuie sur les structures et les fonctions
biologiques naturelles de l'être vivant et de toutes ses possibilités d'adaptation en réaction à ce qui s'impose à lui tant au niveau physique que psychique.
Elle permet d'avancer dans une meilleure compréhension de ce que sont exactement les maladies et les difficultés de fonctionnement, d'en trouver le sens précis et de là, d'orienter vers un
meilleure stratégie médicale actuelle pour en guérir en profondeur chaque fois que cela est possible. Elle permet en outre de préciser comment se font et se défont les liens entre notre
fonctionnement biologique et notre histoire de vie personnelle, familiale et ancestrale.
La "Déprogrammation Biologique" (DB), patiemment mise au point, à l'heure actuelle encore ouverte et évolutive, est l'application pratique de la BTEV.
Elle propose dans la plupart des cas des clefs qui, appliquées aux maladies et aux difficultés de fonctionnement, permettent le plus souvent soit d'en diminuer signes et symptômes, soit encore de les stabiliser, soit enfin d'arriver à les éliminer par le basculement de l'état de malade à l'état de bien portant.
Ainsi, progrès novateurs, la Biologie Totale des Etres Vivants et la Déprogrammation Biologique, parfaitement et judicieusement intégrées de manière tout à fait classique à la Médecine, et en particulier aux traitements médicochirurgicaux actuels absolument indispensables et nécessaires dans l'immense majorité des cas, peuvent apporter aux maladies et aux difficultés de fonctionnement, nouvelles compréhension et solution pratique.
Avertissement :
La Biologie Totale des Êtres Vivants et son application pratique, la Déprogrammation Biologique, doivent être comprises et utilisées en tant que partie intégrante de la
connaissance médicale élargie. En effet, il s'agit bien ici de travailler en concomitance avec les traitements médicaux habituels. Il est bien évident qu'une personne souffrant d'une pathologie
quelle qu'elle soit devra se soigner selon les conseils de son médecin et/ou de ses spécialistes tant que celui-ci ou ceux-ci le juge(nt) nécessaire. Il serait dangereux de ne pas suivre les
traitements prescrits ou de les interrompre en cours de travail de Déprogrammation Biologique ; en effet, on ne peut présumer ni du nombre nécessaire de séances, ni du résultat pour la
personne.
Si l'invariant biologique est le même pour tous, chaque être humain est différent et l'on ne peut spéculer sur la capacité du patient à solutionner ses conflits. Il faut suivre la grande Médecine
actuelle tant que le "basculage" n'est pas là, tant que le basculement de l'état de malade à l'état de bien portant ne s'est pas réalisé. Les traitements de la Médecine actuelle vont lutter
contre l'évolution péjorative de la maladie, et seuls les médecins et spécialistes peuvent prendre la décision de diminuer ou interrompre les traitements lorsqu'ils constatent une amélioration,
voire une guérison. Ma position a toujours été très claire à ce sujet, et cela bien évidemment dans l'intérêt des malades.