La psychogénéalogie établit un pont entre la psychologie et la généalogie.
Elle consiste en une analyse approfondie de chaque membre de sa famille sur plusieurs générations, pour comprendre que nous sommes l’héritier d’une histoire familiale et que nous
disposons en tant qu’individu d’un potentiel de nouveauté et de création.
Si nous regardons la vie se dérouler sur cette planète, c'est une histoire qui se répète sans fin. Dans une famille, c’est identique. Combien d’entre vous ont vécu ou vivront ce que leurs
parents, grands-parents ont vécu ?
Que vivront nos enfants ? Comment changer et améliorer notre vie de tous les jours, celle de nos enfants, pour se donner la liberté et la joie de vivre ?
Au travers de votre arbre, comprenez la façon dont vous vous êtes positionné par rapport aux autres membres de la famille, quelle place vous avez pris, et qu’elles ont été les projections
familiales dont vous avez hérité.
Grâce aux prises de conscience, défaisez peu à peu les nœuds empêchant d’être vraiment vous-même, de devenir un véritable adulte : c’est à dire oser faire les choses que vous n’avez jamais osées
faire, ou arrêter de faire celles que vous n’avez plus envie de faire.
Par la Psychogénéalogie, apprenez à découvrir qui vous êtes, à qui vous vous êtes identifié ou au contraire, contre qui vous vous êtes structuré. Vous déchiffrerez ce que vous répétez sans en
avoir conscience (maladies, échecs, réussites...).
Ce face à face avec votre famille permet de couper dans vos racines tout ce qui vous empêche de grandir et apprécier ce qu’elles vous ont transmis de positif aussi. (ressources familiales)
Cela vous permet d’être à l’écoute de vous-même, de comprendre qui vous êtes véritablement en transformant ainsi votre vie pour qu’elle corresponde à ce que vous souhaitez vraiment. En vous
conduisant à la connaissance de vous-même, la Psychogénéalogie vous conduit à l’amour de vous et quand vous vous aimez, vous vous mettez à produire et à rendre service aux autres, à accepter ou
mieux aimer votre famille et les autres.
Vous comprendrez l’importance des «secrets de famille» non exprimés et qui se répètent de génération en génération. En psychogénéalogie, personne n’est coupable.
Sources : A.I.P
« Sans prise de conscience, sans travail sur soi, nous sommes condamnés à reproduire ultérieurement nos identifications d’enfant. Parfois à notre insu.
Certains ont choisi de faire tout le contraire de leur famille. Malheureusement, vivre le contre-scénario, c’est encore vivre en fonction du scénario.
Prendre le contre-pied, ce n’est pas accéder à la liberté d’être soi-même, c’est agir à l’inverse en étant constamment dans la comparaison.
L’aventure d’une vie humaine, c’est avant tout l’aventure de la conscience. Plus nous devenons conscients, plus nous devenons libres. Plus nous choisissons notre vie au lieu d’obéir à nos
programmations, plus nous épanouissons notre être unique, indépendant, autonome. Plus nous sommes épanouis, plus nous épanouissons les autres. »
Chantal RIALLAND : livre Cette famille qui vit en nous.
« Nous sommes les autres, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres - parents, membres de notre famille, éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie. »
Professeur Henri LABORIT, médecin biologiste
« Le secret est aussi indispensable aux êtres humains que le feu, et aussi craint. Le secret comme le feu facilitent et protègent la vie, mais ils peuvent aussi étouffer, dévaster, se propager de manière incontrôlée. Le secret et le feu aident à préserver l'intimité mais peuvent aussi l'envahir, ils sont autant nourriciers que destructeurs. Et ils peuvent se retourner contre eux-mêmes : on élève des barrières de secret pour se protéger contre des complots et des tentatives insidieuses, tout comme le feu sert à combattre le feu. » Sisela BOK cité dans Le poids des secrets de famille d'Evan Imber-Black
« Chacun, quelle que soit sa vie, devrait faire tout ce qui était en son pouvoir pour se débarrasser de ses propres fardeaux et malédictions afin de ne pas avoir à les charger, à l’instant de quitter ce monde, sur le dos de son propre fils... Nos peines ne s’effacent pas avec nos existences, elles demeurent vivantes et nos enfants en héritent aussi naturellement que l’on hérite d’un terrain ou d’une maison lézardée. »
Henri GOUGAUD
« Le plus sûr moyen de tromper les hommes et de perpétuer leurs préjugés, c'est de les tromper dans l'enfance. »
Baron d’HOLBACH