La méthode consiste par le moyen d'une grille de lecture personnelle et confidentielle :
1- de livrer, lors des premières séances, les moments forts de sa vie enregistrés par l'inconscient sous forme de graphique personnel, appelé cartographie. Chaque information gravée dans la cellule mère, met en place une "borne d'entrée" et à chaque relecture ou réactivation émotionnellle une "borne de sortie" ce qui définie nos Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés. (voir chapitre des cycles).
2- d'identifier à partir du 3ème mois fœtal, les réflexes conditionnés (comme un virus dans l'ordinateur, le réflexe conditionné parasite, déforme des informations du cerveau reptilien ou automatique)
A raison de quelques séances, le Psycho Praticien identifie en temps réel, sous forme de graphique continu la/les présence(s) du ou des réflexe(s) conditionné(s) qu'il aura soin de pointer, de travailler émotionnellement le "conflit encodé", de déterminer si c'est une mémoire personnelle et/ou transgénérationnelle (chocs émotionnels non résolus par les parents et transmis donc génétiquement).
OBJECTIF : gagner un temps précieux pour rétablir rapidement un état satisfaisant et rééquilibré de votre santé psychique, mentale, émotionnelle et physique.
ANALYSE EMOTIONNELLE ou PSYCHO-ORGANIQUE
L'origine de la maladie, de la dépression ou d'un mal être d'une personne peut se trouver:
° soit dans sa vie et l'on parle de Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés
° soit dans la période de sa conception jusqu'à sa naissance, c'est le Projet-Sens Empreinte de naissance
° soit en amont, par une mémoire toujours active du clan ou d'un membre de son arbre généalogique, le travail se fera alors en Psychogénéalogie.
L'analyse émotionnelle :
° permet de traduire ce que le mal physique nous dit de nos maux psychologiques, nous aide à corriger nos modes de fonctionnement, et de découvrir un nouvel état d'être plus équilibré et serein.
C’est devenu presque banal dans les films et les séries américaines. De ce côté de l’Atlantique, on y a de plus en plus recours, même si les réticences sont encore présentes. Pourtant, la thérapie de couple peut avoir bien des avantages, si vous trouvez la détermination pour passer le pas.
Faire une thérapie de couple, c’est déjà accepter de mettre ses problèmes sur la table. Cela n’est pas simple. Les conflits récurrents au sein du couple relèvent d’un manque de communication. Nous ne comprenons pas pourquoi l’autre ne nous comprend pas, et cela ne relève pas nécessairement de notre façon de nous exprimer.
Déjà, il y a les problèmes de chacun. Il arrive bien souvent que nous reprochions à notre partenaire des attitudes qui nous insupportent, pour finalement révéler nos contradictions intimes. Nous projetons en l’autre nos propres paradoxes, et parler devant l’autre permet de commencer à les résoudre.
La thérapie de couple permet aussi de nous mettre à la place de l’autre, parfois par le jeu de rôle, parfois simplement en formulant à sa place des éléments de langage à elle ou à lui. Lorsque nous nous lançons sans arrêt les mêmes réprimandes, nous oublions leur contenu, c’est-à-dire les émotions.
Cependant, là aussi, il n’est pas évident de laisser les émotions à nu. Nous avons quelques fois l’impression que si nous parlons à cœur ouvert, l’autre se servira de nos sentiments ou de nos critiques pour nous les renvoyer.
C’est aussi la raison de la présence du thérapeute de couple : il permet d’envisager un terrain neutre, où la fragilité de chacun peut s’exprimer, même si cela implique d’accepter de s’exposer devant une ou un inconnu.
Dans tous les cas, la démarche de la thérapie de couple reste par principe positive. Elle démontre une réelle volonté de part et d’autre de sortir de l’impasse et du conflit permanent, ainsi que des stratégies de communication inefficaces, qui peuvent confiner à la mesquinerie ou à la perversion.
Ce n’est pas parce que nous allons à deux chez le thérapeute que cela divise le travail sur soi ! Cela implique que nous fassions preuve de compréhension, de plus d’empathie, mais aussi que nous acceptions de réformer certaines de nos attitudes blessantes ou négatives.
Même si la démarche fait toujours un peu peur, parce que nous craignons d’en apprendre trop sur nous ou sur l’autre, ou que les efforts auxquels elle conduit sont trop difficiles, elle résulte d’une envie de progresser, et surtout de dénouer des situations et des douleurs complexes. Ce n’est pas parce que nous nous livrons que tout se résout d’un coup. Et il faut garder en tête que les scènes de ménage sont plus violentes et plus difficiles à supporter que le dialogue.
Enfin, il arrive que l’on ait pris des chemins totalement différents, et que le couple ne marche déjà plus lorsqu’on arrive chez le thérapeute. Cela ne rend pas la consultation inutile pour autant, et permet même une rupture apaisée, ce qui est assez rare dans la vie courante. Dans tous les cas, il n’est rien de plus important que le dialogue, autant pour nous que pour notre partenaire !